En Afrique de l'Ouest, nuire aux marques et/ou entreprises, via les réseaux sociaux, est devenu un fait courant. Le phénomène prend pied au Gabon. Les chefs d'entreprises et gérants doivent désormais s'adapter à cette nouvelle menace qui guette les marques. Passant de la politique à l'économie, des individus malintentionnés se multiplient.
Le porte-parole des Sociaux démocrates gabonais (SDG), Jules Esdras Mouhouloulou, a condamné, hier, à la faveur d'un point-presse, la récente sortie du ''Mouvement des citoyens libres et responsables'', au cours de laquelle les membres dudit mouvement avaient lancé un ''appel à agir''.
C'est désormais officiel. L'artiste Arielle T a mis fin aux rumeurs. Elle a quitté l'écurie Direct Prod, label dirigé par Edgar Yonkeu.
Les automobilistes qui se rendent, depuis samedi dernier, au Centre d'appui à la pêche artisanale de Libreville (Capal) peuvent enfin pousser un ouf de soulagement.
C'est ce que révèlent certaines indiscrétions arguant que le Centre gabonais des élections serait à pied d'œuvre dans ce sens depuis quelques jours. Pour rappel, neuf sièges de députés sont concernés.
Son ultime temps de jeu restera bloqué à 23 minutes sur l'aire de jeu du stade de l'Institut national de la jeunesse et des sports (INJS) de Libreville, un samedi 2 mars 2019 à jamais de funeste mémoire.
La nouvelle du décès de Herman Tsinga, joueur d'Akanda FC, a plongé le monde du football en particulier, et le sport gabonais de manière générale, dans une profonde affliction.
Les personnes vivant avec le VIH/Sida (PVVIH) sont dans une angoisse profonde depuis quelques jours. Une possible rupture de molécules d’antirétroviraux a été annoncée dans les différents Centres de traitement ambulatoire (CTA) du pays et aux responsables d'associations par les services en charge du traitement de cette pathologie.
L'école de cuisine "la Toque noire" et la chaîne de télévision et de radio panafricaine Label Group viennent de lancer l'émission "Cuisinez comme un chef".
Au terme d'un travail de recherche approfondi, la formation politique présidée par Gérard Ella Nguema est arrivée à la conclusion selon laquelle la plus haute juridiction gabonaise n'a jamais été responsable d'une quelconque violation de texte.