Aux yeux du sénateur du 2e arrondissement de la commune de Koula-Moutou, le temps est venu de passer la main à la jeune génération.
agents de la Police judiciaire (PJ) de Moanda ont mis la main, le 23 février dernier, sur trois ressortissants sénégalais soupçonnés d'implication dans le trafic d'ivoire. Diack Abou, Diao Mamadou et Sow Babali Amadou ont été appréhendés avec 23 kilogrammes de cette marchandise à bord d'un véhicule pick-up de marque Izuzu.
Véhicule incendié, menaces de mort : le commandant de l’antenne provinciale de la Police judiciaire (PJ) du Haut-Ogooué, François Léonard Mbadinga, est victime, depuis quelque temps, des intimidations en tous genres. Difficile de savoir, pour l'heure, qui en veut à cet officier supérieur des Forces de police nationale (FPN).
Ceux qui suivent de près le projet Manioc de la Cémac, depuis son lancement en 2011, ont retenu que son exécution au Gabon a connu deux grandes phases. La première allant de 2011 à 2015 a été chaotique, conduisant le Prasac a changé d'équipe dirigeante.
Jannick Ewaga, Gabonais, la vingtaine, est actuellement gardé à vue à la Police judiciaire (PJ). Motif : il lui est reproché d'avoir arraché le sac à main d'une dame, à la hauteur d’Évasion 2000 au quartier PK 8 dans le 6e arrondissement de Libreville.
La problématique a été débattue lors de l’atelier de sensibilisation organisé le mardi 26 février, à Port-Gentil, par l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) et le cabinet juridique Sea Shepherd Legal, qui se bat pour la sauvegarde de la faune marine par le renforcement et l'application des lois protectrices.
Ayant eu autrefois pignon sur rue dans toutes les régions du Gabon, la case sacrée est vouée à la disparition si rien n'est fait pour la sauvegarder.
La délégation gabonaise au Pôle régional de recherche appliquée au développement des systèmes agricoles d'Afrique centrale (Prasac), une institution spécialisée de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (Cémac), a organisé, mercredi 27 février 2019, la deuxième session du Comité de recherche-développement du projet manioc. C'était au siège du Centre national de la recherche scientifique et technologique (Cénarest) de Libreville.
C'est à cela que se résume l'ensemble des problèmes évoqués par son président Séraphin Ndaot Rembogo, hier, en présence du Premier ministre et d'un parterre d'invités à cette cérémonie.
Alors que certains l’apparentent à une nouvelle erreur de casting ou à des règlements de compte, la purge opérée dans l’administration publique répondrait plutôt à une urgence de résultats, dans un contexte fragile de reprise économique. Ainsi, le gouvernement Nkoghé Bekale ne peut se permettre à 13 mois de la fin de l’appui budgétaire du FMI (avril 2020) et du Plan de relance économique (PRE) se risquer à des combinaisons hasardeuses ou politiciennes, au risque de mettre en péril tous les efforts déployés et à faire échouer le programme.