A l'approche de la fin de l'année, l'heure est au bilan pour tous les acteurs politiques et responsables gouvernementaux. Dans ce cadre, la rédaction de l'Union s'est engagée dans une série d'interviews-bilan. Aujourd'hui, nous débutons par le ministre de l'Eau et de l'Energie, Patrick Eyogo Edzang. En effet, 16 mois après sa prise de fonction, quelles sont les réponses apportées par les pouvoirs publics via la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG) et les autres partenaires pour résoudre l'épineux problème de délestages et coupures d'eau ? Où en sommes-nous avec l'affaire Veolia-Etat gabonais ? Pourquoi depuis la ''nationalisation'' de la SEEG, l'électricité est-elle devenue aussi chère ? Dans l'entretien ci-dessous, Patrick Eyogo Edzang répond à ces questions, tout en dressant le bilan des 16 mois passés à la tête d'un ministère transversal et aussi stratégique que celui de l'Eau et de l'Energie. Car, au finish, l'eau c'est la vie, et l'Energie le développement.

Comme annoncé le 24 octobre dernier, par le Coordonnateur résident du Système des Nattions unies (SNU), Stephen Jackson, la Journée des Nations unies a été célébrée mardi dernier en différé, au Gabon. En présence du ministre délégué aux Affaires étrangères, Clotilde Chantal Mboumba Louey et de plusieurs membres du corps diplomatique accrédités dans notre pays.

Certaines requêtes, sinon le plus grand nombre, traduisent l'attitude peu convenable des candidats ayant mordu la poussière aux dernières législatives. Sans faire preuve de fair-play, beaucoup tentent de s'accrocher à des maigres espoirs d'invalidation des victoires de leurs adversaires. Pour s'en convaincre, il suffit de voir les nombreux dossiers qui ont été rejetés, soit au moment de leur réception, soit après leur examen par les neuf juges constitutionnels.

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