Dans un entretien accordé à L’Union, Pierre-Claver Maganga Moussavou commente la récente promulgation de la loi sur les partis politiques, dont il a contribué à l’élaborer. Il exprime ses réserves sur certaines dispositions transitoires, notamment l'exigence de 10 000 adhérents en un an, qu’il juge déconnectée de la réalité politique du pays. Il souligne l’importance du respect des concertations et des décisions collectives, tout en saluant les avancées de la loi en matière de transparence et de gouvernance, essentielles pour renforcer la démocratie gabonaise.