En octobre et novembre, nos villes se parent respectivement des couleurs rose et bleu. Administrations, entreprises, particuliers, etc., tous les arborent en guise de soutien à la lutte contre les cancers féminins et masculins qui continuent de faire tant de victimes. Entre la suspension de la prise en charge des traitements anticancéreux par la CNAMGS, un personnel qui manque souvent d’empathie et un plateau technique “vieillissant”, l'envers du décor est loin d’être idyllique. Ici, le résumé d'une visite à l’Institut de cancérologie d’Akanda, et les explications apportées par son directeur général, le colonel Arnaud Brice Koumba.