En effet, une enveloppe de 60 millions d’euros (39 milliards 357 millions 420 mille FCFA) va être consacrée à des structures locales qui assureront les travaux d’installation, sous la supervision de Suez.
Les entreprises retenues vont pouvoir bénéficier de formations spécifiques, afin de respecter les standards internationaux, notamment en matière de santé et sécurité. Notre pays en compte plusieurs dans ce secteur, les plus expérimentées s'étant regroupées au sein du Groupement des entreprises de l'eau et de l'électricité du Gabon (G3E-Gabon).
La multinationale française de gestion de l’eau et des déchets explique que "la démarche initiée permettra de générer de l’emploi local, tout en favorisant la professionnalisation des acteurs nationaux du secteur". C'est donc dire, pour s'en féliciter, que le projet entend jouer un rôle moteur dans l’économie gabonaise.
En misant sur l’expertise technique de Suez, le Gabon fait ainsi le pari d’un service public de l’eau modernisé, efficace et inclusif, au bénéfice de ses citoyens et de son développement durable.
En 2024, le groupe français a fourni de l’eau potable à 68 millions de personnes dans le monde et des services d’assainissement à 44 millions d'autres.
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Lire aussi - Suez-SEEG : un partenariat de plus de 131 milliards de FCFA pour optimiser les services de l’eau potable
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