L'ancien député de Mouila, Jean-Bernard Saulnerond Mapangou est décédé, jeudi 11 octobre dernier, à la clinique El Rapha de Libreville. Né un 6 août à Mouila, il était âgé de 85 ans.
Si ces trois acteurs politiques ne sont engagés personnellement à aucun des deux scrutins jumelés, plusieurs membres de leurs formations politiques respectives sont allés se frotter aux autres candidats. Leur bilan comptable famélique au premier tour en fait de grands perdants.
La présidente du Sénat, Lucie Milebou Aubusson Mboussou, a représenté le président Ali Bongo Ondimba, vendredi dernier, à Malabo, à l'occasion du cinquantième anniversaire de la Guinée-Equatoriale à la souveraineté internationale.
Pour s'être portés candidats aux élections couplées (législatives et locales) du 6 octobre dernier, à Ndendé, Bitam, Koula-Moutou et dans le département de l'Ogoulou, sous d'autres couleurs, cinq militants du parti Souverainistes-Ecologistes (PSE), membre de la Coalition pour la nouvelle République (CNR) soutenant Jean Ping, ont été éconduits de cette formation politique. Selon nos confrères de Gabonreview, dans sa parution de mercredi dernier.
Les résultats annoncés, vendredi dernier, par le président du Centre gabonais des élections (CGE) Moïse Bibalou Koumba, confirment, en attendant l'issue du deuxième round, la bonne “percée” ce bord politique.
« Confirmer le résultat obtenu lors de la présidentielle de 2016. » C'était le principal objectif que s'étaient fixés les responsables du Parti démocratique gabonais (PDG) à l'entame de ce processus électoral.
Dans sa reconquête du Woleu-Ntem, le Parti démocratique gabonais (PDG) a obtenu trois (3) députés au premier tour des législatives du 6 octobre dernier
Les travaux du 17e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) ont pris fin hier à Erevan en Arménie, en présence de plusieurs chefs d'Etat et de gouvernements des pays ayant en partage l'usage du français.
En marge de sa participation au 17e sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le président de la République, Ali Bongo Ondimba, s’est entretenu, hier, dans la capitale arménienne, avec son homologue français, Emmanuel Macron.
La prise de fonctions de ces magistrats vient combler un vide juridique, du fait que, nouvellement créées, les juridictions administratives n'étaient pas encore opérationnelles.
Au terme des premiers résultats issus des urnes non encore confirmés par le Centre gabonais des élections (CGE), le parti au pouvoir est déjà crédité, dès le premier tour, de plus de 90 sièges à l'Assemblée nationale, et domine les conseils locaux. Pendant que des figures de proue de l'opposition essuient de sérieux revers un peu partout.