Le butin volé par Papi Obame, 21 ans, et sa mère Marie Brigitte Ndombi Bakita, 60 ans, tous deux de nationalité gabonaise, au domicile du défunt Louis Flavien Bruno Chelers est consistant.

Les responsables du magasin "Makokou Star" sont désormais fixés sur les nombreuses pertes enregistrées ces quatre derniers mois - soit environ 40 millions de francs - par leur établissement commercial, situé au quartier Central de Makokou.

Grâce à la vigilance des consommateurs, des stocks d'une moutarde douteuse viennent d'être saisis par le service provincial de la Concurrence et de la Consommation du Haut-Ogooué, basée à Franceville.

Cela faisait un bon bout de temps que les agents de l’antenne provinciale de l’Office central de lutte antidrogue filaient Yannick Akouboua et Stevi Glenn Magnomo Mekodiamba, tous deux Gabonais, suspectés de trafic de chanvre indien.

Rien ne va plus au tribunal de première instance d'Oyem, et pour cause ! Cette institution judiciaire est victime de cambriolages depuis quelques mois. Le dernier en date remonte au week-end dernier.

Près d'un an que les gendarmes de la Brigade territoriale (BT) de Ntoum sont derrière Romuald David Mapoupou. Après avoir été rayé des effectifs de la police, il se serait mis à arnaquer des Ouest-Africains irrégulièrement installés au Gabon.

Jean Ngoua-Abagha alias Tao, Gabonais d’une trentaine d’années, a été appréhendé dernièrement par les agents de la brigade de gendarmerie du district de Meyo-Kyè, dans le département du Ntem.

Le 3 février dernier, un incendie d'origine inconnue a consumé, au Quartier-Chic, à Port-Gentil, une maison et un véhicule, qui a eu la malchance d'être au mauvais endroit au mauvais moment.

L’antenne de l’Office central de lutte antidrogue (Oclad) de Lambaréné vient de frapper un grand coup, avec l’arrestation de Glen Brelien Ndongo, alias Hamed, et de Loyde Nziengui Nyambi, la vingtaine révolue, tous deux Gabonais.

S’ils n’étaient pas au fait de la législation interdisant la culture du chanvre indien en République gabonaise, Alfred Epebadi, 38 ans, et Nelson Abe B’Emane, 52 ans, sont désormais fixés.

Cinq immigrés clandestins, originaires du Burkina Faso et de la Guinée, ont été interpellés, le 31 janvier dernier, par les agents de la brigade Setrag d'Owendo, qui les ont ensuite mis à la disposition de celle du Camp Roux pour compétence.

Après son acte, le présumé meurtrier a pris la poudre d'escampette. Il se serait actuellement réfugié chez son père à Nzeng-Ayong. Lequel rendrait la tâche difficile aux enquêteurs de la brigade gendarmerie de Nkoltang, désireux de procéder à l'interpellation du mis en cause.