Des élèves envoyés en prison pour des actes de violences scolaires. La loi vient d'être appliquée dans toute sa rigueur, sans état d’âme. Une meilleure façon de rappeler que les bagarres en milieu scolaire conduiront désormais derrière les barreaux. La sensibilisation terminée, place désormais à la répression.

La menace d'une grève à l'Université Omar Bongo est pour l'instant écartée. Le Syndicat des enseignants-chercheurs (Snec) a suspendu son préavis suite à l'ouverture de négociations avec la présidence et le rectorat. Si cette décision apporte un répit, les revendications de fond demeurent explosives : apurement d'une dette pédagogique de plusieurs centaines de millions, budget 2025 exécuté à moitié, et surtout, une surpopulation étudiante critique avec 30 000 inscrits pour seulement 9 000 places.

Plus meurtrière que le tabac selon l'OMS, la "malbouffe" s'est imposée comme un véritable fléau de santé publique au Gabon. Du trio "gras, sucré, salé" des repas de rue aux boissons sucrées, ces mauvaises habitudes alimentaires sont responsables de l'explosion de l'obésité, du diabète et des maladies cardiovasculaires. Face à cette invasion silencieuse, la solution se trouve pourtant dans nos traditions : un retour aux produits locaux, frais et non transformés, pour réapprendre à manger sainement.

Près de deux mois seulement après la reprise des cours, les violences en milieu scolaire ont repris de plus belle malgré la batterie des sanctions prévues et renforcées dans le Code pénal. Que s'est-il passé ? Que faut-il faire ? L'opinion plurielle semble avoir une recette : appliquer la loi dans toute sa rigueur.

Alors que le ministère de l’Éducation nationale et l’Unicef s’attellent à bâtir les nouveaux référentiels des instituts de formation récemment créés, le syndicat de l’ENS remet en cause leur tutelle. Le chantier s’annonce délicat.

C'est par un témoignage personnel et poignant que la Première dame, Zita Oligui Nguema, a lancé la campagne "Octobre rose" 2025. En révélant que son propre père est décédé d'un cancer du sein, elle a solennellement rappelé que la maladie est l'affaire de tous. Placée sous le thème "Unis par l’unique, au-delà d’Octobre rose", cette nouvelle édition innove en dédiant une journée à la sensibilisation des hommes et en invitant les femmes à se faire dépister tout au long de l'année, à la date de leur mois de naissance.

Alors que la Journée mondiale de la Poste est passée dans l'indifférence générale au Gabon, l'institution, minée par les crises sociales et les scandales, semble à l'agonie. Face à ce constat, l'expert en ingénierie financière André Bouassa propose une thérapie de choc dans son livre "La Poste réinventée".

Quelques mois seulement après sa création, l'Union démocratique des bâtisseurs (UDB) a réalisé une performance inédite en s'assurant une majorité confortable, sinon absolue, à l'Assemblée nationale à l'issue des élections législatives.

Largement en tête dans la province de l’Estuaire, l’Union démocratique des bâtisseurs (UDB) s’impose dans la plupart des arrondissements de Libreville et ses communes voisines, sur fond de faible participation électorale. 

Au terme du second tour des législatives, et selon les résultats des états-majors des partis, le Parti démocratique gabonais (PDG) a sauvé l’essentiel de ses figures et remporté les grands duels contre l’Union démocratique des bâtisseurs (UDB) du président Brice Clotaire Oligui Nguema