Inculpation de Pascaline Mferri Bongo : un non-événement pour la défense
Un an et deux mois seulement après la décision du tribunal correctionnel de Paris de prononcer la relaxe en faveur de Pascaline Mferri Bongo et ses coaccusés pour faits de " corruption passive d’agent public étranger " et " complicité de corruption passive d’agent public étranger " (L'Union du 23 avril 2024), voilà cette dernière à nouveau dans le collimateur de la justice française.