Le gouvernement a lancé officiellement, hier à Libreville, les travaux d'élaboration du premier Plan national de croissance et de développement (PNCD) couvrant la période 2026-2030. C'était en présence des membres de l'Exécutif, en l'occurrence Henri-Claude Oyima, ministre de l'Économie, des Finances, représentant le vice-président du gouvernement, Louise Mvono, ministre de la Planification et de la Prospective, ainsi que de plusieurs de leurs collègues.
Prévu pour s'achever aujourd'hui, le présent atelier qui réunit en plus des membres du gouvernement les représentants des institutions constitutionnelles et diplomatiques, les acteurs de la société civile et les partenaires techniques et financiers, notamment le Fonds conjoint des Nations unies pour le développement durable (SDG-F), vise essentiellement à présenter les grandes orientations sur lesquelles reposent ledit plan et la démarche méthodologique de celui-ci à travers une note de cadrage. De même à valider cette dernière, partager le calendrier de son processus d'élaboration, clarifier les rôles et responsabilités des acteurs impliqués et renforcer l'adhésion politique et institutionnelle autour de ce processus.
Le futur PNCD sera conçu autour de six piliers du Projet de société du président de la République. À savoir l'accès à l'eau et à l'électricité, l'entrepreneuriat, l'employabilité des jeunes, le logement, les infrastructures, le capital humain, la justice sociale, la gouvernance et le développement durable. Des piliers qui s'articuleront autour des Objectifs de développement durable (ODD) et de l'agenda 2063 de l'Union africaine.
C'est dans ce sens que le ministre Henri-Claude Oyima a indiqué que le PNCD repose sur des fondations claires et spécifiques, notamment "une gestion financière rigoureuse
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