Le Club Lyre a reçu, samedi dernier, dans le cadre de ses activités, l'écrivaine gabonaise Charline Effah, à l'Université Omar-Bongo (UOB), où cette amicale tient présentement ses réunions.

Les festivités de la 4e édition de cette fête du 7e art se sont achevées, mardi soir, à l'Institut français à Libreville, par la diffusion et la remise de la distinction au co-réalisateur de cette œuvre cinématographique.

Deux camions conteneurs transportant un premier lot de tables-bancs sont arrivés, mercredi en fin d'après-midi, au lycée Paul Indjendjet Gondjout, à Libreville. D'autres livraisons ont suivi, hier, dans différents établissements de la capitale.

En prélude à son spectacle, demain à 20 heures, à l'auditorium de l'immeuble Arambo, la princesse du Tandima partage, dans cet entretien, quelques axes de ce rendez-vous.

Il s'agissait de discuter sur cinq points essentiels. Entre autres, la PIP et le financement des travaux de réhabilitation de l'hôpital psychiatrique de Melen.

Pendant trois jours, les échanges au cœur de ce séminaire dont les travaux ont été ouverts, hier matin, au Delta-Postal, permettront de partager la réflexion, de proposer et d'apporter des solutions aux problèmes qui touchent au plus près l'espace communautaire de la CEEAC.

L'agression commise par des élèves du Complexe technique national Omar Bongo sur ceux de Jean-Hilaire Aubame-Eyeghe, n'a pas tardé à être sanctionnée.

Pour répondre à cette question, une journée de sensibilisation a été organisée récemment par le Bugada, pour édifier les créateurs et utilisateurs des œuvres de l'esprit.

Plusieurs centaines de Librevillois sont venus manifester devant l'ambassade française pour un respect des institutions gabonaises.

Après quinze jours d'une grève d'avertissement, les magistrats regroupés au sein du Syndicat national des magistrats du Gabon (Synamag) ont décidé hier de durcir leur mouvement de grève.

Rédigé à la suite du premier Conseil exécutif de la Commission nationale gabonaise pour l'Unesco, tenu le 17 février 2016. Le document paraphé vendredi dernier, donne une certaine lisibilité du cadre de travail entre le Gabon et l'Unesco jusqu'en fin 2017.

De nombreux visiteurs se sont rendus, le week-end écoulé, à la maison Georges-Rawiri pour découvrir le meilleur des créations du terroir. Les secteurs alimentaire, du numérique, de l'agrobusiness et de l'art se disputaient la vedette.