Pour la première fois, des personnes privées de liberté ont accompli leur devoir citoyen à l'occasion de l'élection présidentielle du samedi 12 avril 2025.
Cette déclaration, le candidat arrivé deuxième à l'élection présidentielle du samedi 12 avril dernier l'a faite hier à Libreville. Devant la presse et les principales figures de son équipe de campagne. Bien que déçu de l'issue d'un scrutin dont il dénonce la crédibilité, Alain-Claude Bilie-By-Nze a affirmé qu'il refuse de travailler avec le vainqueur déclaré.
Particulièrement connu sous le pseudonyme de "Le Bandit Beau", Farel, un jeune artiste gabonais, a été victime d'une agression pour le moins choquante, le 10 avril dernier, dans la zone du PK 8.
André Mba Obame (AMO), 10 ans déjà ! Le 12 avril 2025, en même temps que les Gabonais étaient appelés aux urnes pour élire leur président de la République, cette date leur rappelait également le 10e anniversaire du décès de cet illustre disparu.
La participation électorale est l'un des traits les plus caractéristiques de la bonne santé d'un État démocratique. Contrairement à un groupuscule de compatriotes qui invitent les électeurs gabonais à rester chez eux le jour du vote, Joseph Lapensée Essingone les invite plutôt à se rendre massivement aux urnes le 12 avril prochain.
À en croire plusieurs sources concordantes, les enquêteurs de la Police judiciaire (PJ) ont récemment interpellé le nommé Dalvain Abongo, Gabonais, agent de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS).
La visite à la prison centrale de Libreville, il y a quasiment deux semaines, du procureur général près la Cour d'appel judiciaire de la capitale gabonaise, Eddy Minang, a été suivie de bonnes nouvelles pour plusieurs détenus. L'on parle d'une centaine de prisonniers libérés sur décision de justice.
Le 7 du mois en question, le commandant en chef des Forces de police nationale (FPN) du Gabon, le général Serge Hervé Ngoma, avait en effet pris la décision de suspendre 34 fonctionnaires de cette institution pour leur rôle présumé dans un trafic de drogue.
"La maltraitance hydrique" est l'expression de plus en plus partagée par les habitants du quartier Derrière-la-Prison, dans le 1er arrondissement de la commune de Libreville.