À quelques semaines du forum et du Prix Galien Afrique, le Remapsen et Galien Afrique affûtent leur partenariat. Ensemble, ils veulent faire de Dakar, du 28 au 31 octobre 2025, la capitale africaine de la recherche, de l’innovation et de la souveraineté sanitaire.

L’USTM, construite en 1986 pour 326 étudiants, est aujourd’hui confrontée à une crise de saturation qui met en péril l’accès à l’enseignement supérieur. Avec environ 5 000 inscrits pour seulement 800 places disponibles, l’université tente de gérer l’urgence: réquisition de pavillons existants, aménagements provisoires et appels au financement pour une infrastructure qui tarde à suivre la demande croissante.

'' À Cœur Neuf '' ! C’est à la fois le titre du nouvel album et celui du concert de la chantre Paule Zita, figure du gospel gabonais. Un choix symbolique, pensé pour refléter un renouveau spirituel musical, un cœur transformé et un nouveau départ.

L’audience solennelle de rentrée judiciaire 2025-2026 s’est tenue au Palais de justice de Libreville, symbolisant la reprise des activités des cours et tribunaux, tandis que le Syndicat national des magistrats du Gabon (Synamag) dénonce des décisions perçues comme irrégulières lors du dernier Conseil supérieur de la magistrature, notamment la nomination controversée d’un secrétaire général de la Chancellerie.

Le Conseil d’administration de la Cnamgs, réuni en session extraordinaire, a entériné la suspension de Nadia Christelle Koye, directrice générale, et confié l’intérim à son adjoint Pierre Moussavou.

Le Gabon s’enrichit de 18 automates médicaux dernier cri, d’une valeur dépassant 800 millions de francs CFA, grâce à un don du Japon. Signé le 3 octobre entre l’ambassade du Japon et le ministère gabonais des Affaires étrangères, cet apport renforcera les hôpitaux régionaux et les centres de santé, permettant un dépistage du paludisme en 10 secondes et un diagnostic rapide, fiable et accessible même en zones rurales.

Suite à l’assemblée générale de rentrée, le Snec-UOB (Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs de l’Université Omar Bongo) a tenu une conférence de presse pour annoncer un préavis de grève de 8 jours. Le syndicat dénonce une dette pédagogique impayée, des retards dans l’exécution budgétaire et des réformes imposées sans consultation, tout en s’inquiétant des mesures du Conseil des ministres sur le départ à la retraite des agents publics et leurs effets sur l’encadrement universitaire.

Le projet de digitalisation de l'enseignement primaire au Gabon, visant à connecter 45 écoles et à former 9 000 élèves, se heurte à de vives critiques. Pour de nombreux observateurs, cette initiative, bien que louable, revient à mettre la charrue avant les bœufs dans un contexte où les infrastructures de base comme les tables-bancs, les salles de classe et un accès fiable à l’électricité et à internet font cruellement défaut. Cette situation soulève des questions sur la pertinence du projet et le risque de créer une école à plusieurs vitesses.

Le ministère de l’Éducation nationale, en partenariat avec l’Unicef et Airtel Gabon, a lancé hier une formation innovante destinée à 200 enseignants du primaire de l'Estuaire. Cette initiative, qui se déroulera jusqu'au 10 octobre, vise à renforcer leurs compétences en enseignement numérique et marque le passage à une nouvelle échelle du projet de digitalisation des enseignements dans le pays, après trois années d'expérimentation.

Une crise interne agite la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs). Suite à une note de service du président du Conseil d’administration, Alain-Claude Kouakoua, annonçant la suspension conservatoire de la directrice générale Nadia Christelle Koye, le bureau du Syna-Cnamgs réclame désormais le départ du PCA, dénonçant des dérives de gestion et des ingérences opérationnelles qui fragilisent l’institution.

La Chambre de commerce de Libreville s’est parée de rose. Autour de Jessica Allogo, fondatrice des Petits Pots de l’Ogooué (PEPO), artisanes, médecins, associations et survivantes du cancer ont uni leurs voix pour une même cause...

Présidée par le chef de l'État, Brice Clotaire Oligui Nguema, en sa qualité de président du Conseil supérieur de la magistrature, la rentrée judiciaire 2025-2026 s'est ouverte ce matin à Libreville. Cette nouvelle année est placée sous le signe d'une profonde modernisation de l'appareil judiciaire, axée sur l'amélioration des infrastructures, l'adaptation des textes à la nouvelle Constitution et le renforcement de l'efficacité de la justice pour la rendre plus proche des citoyens.