La cérémonie de clôture a été marquée par une série d’interventions, notamment celles de la partie chinoise, organisatrice dudit séminaire, et celles des différentes délégations des journalistes des pays francophones africains ayant pris part aux travaux du 9 au 28 juin.
Prenant la parole au non des organisateurs, Zhu Hongyu, directrice du département de la Formation et de la Traduction de l’Institut des études internationales et de formation avancée du CICG (Centre d’études internationales et de formation, groupe de communication internationale de Chine), s’est félicitée de la qualité des échanges qui ont prévalu pendant trois semaines d’intenses travaux et de la curiosité dont ont fait montre les professionnels des médias africains, en vue de découvrir la nouvelle Chine dans tous les domaines.
"Nous avons senti à quel point vous êtes curieux de tout savoir sur la Chine. Vous avez posé des questions très pertinentes, et de notre côté, grâce à vos partages nous avons aussi appris beaucoup de choses sur vos pays respectifs", a estimé Mme Zhu Hongyu. Non sans rappeler que ce type d’échange est précieux, "il est à la fois instructif et inspirant".
Les représentants des délégations des journalistes africains des pays francophones ont, quant à eux, exprimé leur reconnaissance à la partie chinoise pour cette initiative qui leur a permis d’appréhender pour le mieux l’approche de développement de la RPC. Chacun y est allé de son latin au nom de ses confrères, pour exprimer son ressenti, à l’exemple de Stéphane Massassa, journaliste à l’Agence gabonaise de presse (AGP), qui a pris la parole au nom de la délégation gabonaise. Tant, ce séminaire a été plus qu’une riche expérience. Un véritable rendez-vous du donner et du recevoir, à travers des modules dispensés, la pertinence et la dimension épistémologique des thématiques abordées.
Des visites de terrains entre deux villes Beijing et Chongqing où "nous avons visité des universités, des musées, des entreprises, les villages, la Chine s’est ouverte à nous, dans sa splendeur, diversité et dans son fort patrimoine culturel", a reconnu M. Massassa.
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