Le président du parti politique "Les Démocrates", Guy Nzouba Ndama, a donné son avis quant à la possibilité de la tenue de ce qu’on pourrait appeler un troisième dialogue national.
La rencontre, mardi dernier, à Abou Dhabi, entre le chef de l'État et le prince héritier, Sheikh Mohamed Ben Zayed Al-Nahyan, a permis de passer en revue ce pan de la relation entre le Gabon et l'État des Émirats arabes unis.
Avant de faire à son parti politique le compte-rendu des conclusions des assises qui viennent de s’achever à Angondjé, le président de Démocratie nouvelle (DN) a d’abord tenu, hier, au cours d’une conférence de presse, à en informer l’opinion publique.
Tel est l'avis du président de la Cour de Cassation, Honoré Moundounga, s'adressant au président du Sénat, Lucie Milebou Mboussou, au sujet du rapport à elle remis hier.
Dépourvu de président depuis la démission il y a près d'un an de Antoine Francis Edzidzi Nna, le conseil municipal de Minvoul vient d'élire son nouveau président.
Le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, a reçu, avant-hier mercredi, en audience, le Pr Mohamed El Hacen Ould Lebatt, envoyé par l’Union africaine (UA), en mission d’appui et de facilitation du Dialogue politique.
Qui veut aller loin ménage sa monture. C'est cette philosophie qui a conduit les militants du Parti démocratique gabonais (PDG) dans le 2e arrondissement de Libreville, le week-end dernier, précisément au Centre de formation professionnelle de Nkembo.
Les responsables de l'Alliance pour le soutien et le développement des jeunes (ASDJ), un parti politique qui se réclame de l'opposition, étaient, le week-end dernier, dans le troisième arrondissement.
Le président de la République a accordé hier une audience au vice-président du comité permanent de l'Assemblée populaire nationale de Chine dont le séjour de 48 heures prend fin aujourd'hui.
Le Parlement gabonais des jeunes est désormais à sa 7e mandature. Les parlementaires juniors qui devront l’incarner on été sélectionnés, samedi dernier, dans les différentes provinces de notre pays.
C'est du moins l'un des principaux objectifs des assises organisées dans la capitale saoudienne, et auxquelles le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a pris part, aux côtés de plusieurs de ses pairs du monde arabo-musulman, ainsi que du chef de l'Etat américain Donald Trump.
Comme une demi-douzaine de chefs d'Etat africains, il répond à l’invitation du roi Salman Ben Abdelaziz Al Saoud d'Arabie Saoudite pour prendre part au sommet arabo-américain, du 20 au 21 mai 2017 qui verra la participation du président américain Donald Trump.