Plus de 12,7 milliards de FCFA ont été alloués à la liquidation de la CNGS depuis 2007, sans jamais bénéficier aux ex-agents, qui réclament aujourd’hui une enquête nationale sur la gestion de ces fonds.
Jean De Dieu Ndong, ancien président du Syndicat des agents de la Caisse nationale de garantie sociale (CNGS), aujourd’hui porte-parole des déflatés, revient à la faveur d'un point-presse sur une tragédie sociale oubliée. Depuis la dissolution surprise de la CNGS en 2007, des centaines de travailleurs attendent toujours leur plan social. C'est un homme en quête de justice pour une ''génération sacrifiée'' qui témoigne.
D'une simple rumeur, les propriétaires des véhicules de marque Toyota Yaris ont vu leur activité de transport en commun stoppée net. La raison ? Une volonté chez les autorités d'y voir clair et de séparer le bon grain de l'ivraie.
Le Programme Concorde a échangé à Libreville avec divers groupes vulnérables pour identifier leurs besoins et proposer des solutions adaptées, notamment en matière d’insertion sociale et d’accès à l’emploi.
Le 30 mai, le LTNOB organise une journée culturelle pour mettre en lumière ses talents, renforcer la solidarité entre élèves et briser les préjugés qui entachent sa réputation.
En mai 2025, l'ONG Secours Rural du Gabon a distribué du matériel scolaire dans vingt villages du Woleu-Ntem, marquant ses neuf ans d'engagement pour l'éducation rurale, malgré l'absence de financement public.
Depuis hier, le Gabon abrite un colloque international sur l'inclusion scolaire et la prise en charge des apprenants à besoins éducatifs particuliers. Ce rendez-vous réunit plusieurs ministères, institutions diplomatiques et professionnels de l'éducation.
L’Université Omar Bongo (UOB) a récemment accueilli une conférence de haut niveau dans le cadre de la Quinzaine de l’Union européenne, un événement majeur qui a rassemblé les ambassadeurs européens accrédités au Gabon ainsi que des représentants des États membres.
Face aux accusations des agents de la CNNII, le groupe Ebomaf affirme que la concession maritime n’est pas encore effective, l’État n’ayant pas rempli certaines conditions contractuelles. Il se désengage donc de toute responsabilité, appelant à une clarification de la situation par les autorités.