Bitam : les vendeuses de tubercules de manioc à la peine
Au nouveau marché de Bitam, les femmes qui y écoulent tubercules de manioc et autres produits paient au prix fort les taxes municipales, tandis que les conditions d’exposition et les revenus restent insuffisants pour sortir du redoutable écart entre coûts et bénéfices. Elles appellent à une mesure plus équitable pour soutenir le commerce de proximité.
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