L'Hôtel de Ville de Libreville a abrité, hier, une session du Conseil ordinaire des Ordres nationaux. Celle-ci était présidée par le Grand chancelier, l'amiral Hervé Nambo Ndouany.

C'est la raison de la rencontre, mercredi dernier, à la Primature, de cette ONG anglaise avec le Premier ministre Julien Nkoghe Bekale. Ce dernier était entouré du ministre de l'Environnement, Lee White, et de plusieurs membres de son cabinet.

Avec 600 milliards de chiffre d'affaires, l'arrivée de ce mastodonte pourrait offrir des débouchés pour les coopératives et producteurs de manioc du Gabon. Baudelaire Ella Ndong, ambassadeur du Gabon en Chine, est allé jauger les installations et capacités techniques de cette entreprise, référence de son domaine de l'agrochimie.

Les câbles souterrains de haute tension demandaient à être préservés par les engins en action. Ce qui a quelque peu ralenti le rythme des travaux, qui se sont emballés par la suite.

À la suite de Nzeng-Ayong, la filiale locale du groupe français du transport et de la logistique vient de distribuer 500 moustiquaires imprégnées dans un autre quartier sous-intégré de Libreville, en partenariat avec le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP).

Cette session de deux jours tenue à Libreville a accordé la priorité aux sages-femmes exerçant dans des zones enclavées.

La finale de la CAN 2019 entre le Sénégal et l'Algérie se déroule dans quelques heures. Alors que tout le monde se demande qui de ces deux sélections repartira avec le trophée de champion, Sadio Mané, attaquant des Lions de la Teranga, a refusé hier de faire dans la langue de bois.

La Confédération africaine de football (Caf) a procédé hier après-midi, au Caire, alors que la CAN actuelle touche à sa fin, au tirage au sort des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2021.

Malgré la mise en place de la nouvelle mercuriale portant sur les produits alimentaires, les prix de ces produits ont continué à progresser au premier trimestre 2019, mais à un rythme plus modéré par rapport à celui de fin décembre 2018. Un casse-tête pour le gouvernement.

En début de semaine, lundi précisément, de nombreuses boulangeries ont entrepris de vendre le pain à 120 francs aux revendeurs. Lesquels ont, pour la plupart, refusé de s'approvisionner à ce prix-là vu l'érosion de la marge bénéficiaire que cela a entraînée. Malgré cela, certains revendeurs ont tenté de revendre à un prix au-dessus du prix encadré (125 francs) par l'administration.