Annoncé par le ministre de la Justice, garde des Sceaux, chargé des Droits de l’Homme, Séraphin  Akure Davain, lors de son récent séjour à Port-Gentil, la session criminelle de l’année 2025 débute officiellement ce  jeudi 17 juillet 2025. La nouvelle était attendue aussi bien par les familles des détenus que par les personnes en conflit avec la loi, soucieuses d’être enfin fixées sur leur sort.

À l’approche des élections législatives et locales, l’Union démocratique des bâtisseurs (UDB) entre dans une phase décisive : celle des investitures. Dans un paysage politique en pleine recomposition, le parti fixe ses règles avec fermeté. Pour espérer porter ses couleurs, il ne suffira pas de faire acte de candidature, il faudra prouver sa rupture nette avec tout engagement politique. La sélection est ouverte, la ligne est claire : l’UDB qui veut des bâtisseurs loyaux et engagés, donne rendez-vous le 23 juillet.

Vision Service Gabon, entreprise de renforcement des capacités dans les métiers de gestion et du numérique, vient de livrer, à Port-Gentil, sa première cuvée baptisée Joël Pono Opapé, ingénieur de formation, sénateur de la Transition, ancien ministre de la République et ancien DG de Pizolub. Les impétrants ont reçu leurs attestations de formation professionnelle dans l'une des salles de la mairie du 2e arrondissement de la cité pétrolière, après plusieurs mois de formation, en présence de parents, amis et connaissances.

L'intitut de recherche technologique (IRT) du Centre national de la recherche scientifique et technologique (Cenarest) a organisé lundi sa 3e journée scientifique sous le thème "Recherche et innovation technologique au service du développement durable". La rencontre s'inscrit dans le cadre des projets Ambition international AURA, en partenariat avec le CNRS et Clermont-Auvergne (France).

Ce mardi matin à la mairie du 1er arrondissement de Libreville, l’ambiance est étrangement calme mais des tableaux d'affichage indiquent que la révision des listes électorales a officiellement commencé. Lors de sa dernière sortie devant la presse, le ministre de l'Intérieur annonçait pour ainsi dire, le démarrage de cette opération le 14 juillet pour les élections législatives et locales.

En prélude aux élections législatives et locales de septembre 2025, le membre du Bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG) pour le compte de Lebamba, Edgard Moukoumbi, par ailleurs ministre des Travaux publics (TP), s'est entretenu le week-end écoulé avec les structures de base à la “Maison du Parti” à Lébamba. Objectif de ces retrouvailles politiques : remobiliser les troupes dans un contexte tout à fait particulier, celui des tensions intra muros, en cultivant la fidélité et la résilience.

L'activité des Caisses des dépôts et consignations (CDC) sera désormais encadrée en zone Cémac, conformément à l'aval donné par la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC), qui s'est réunie le 10 juillet dernier à Malabo, en Guinée équatoriale. Un avis favorable et stratégique qui permettra, du moins pour le cas de l'institution gabonaise, de mieux assurer ses missions de bras séculier de l’État en termes de projets de développement.

Un peu moins de trois mois. C'est le délai qui a été accordé aux responsables des grandes surfaces commerciales par le ministre de l'Environnement, de l'Écologie et du Climat pour se conformer à la mesure interdisant l'utilisation des sacs plastiques à usage unique. "Du 3 au 6 juillet 2025, des journées de sensibilisation seront organisées, une mission de contrôle débutera le 27 septembre 2025", lançait alors Mays Mouissi lors de la Journée mondiale sans plastique, célébrée le 3 juillet.

Rendre à Port-Gentil son lustre d'antan, c'est l'un des objectifs que s'était fixée l'actuelle délégation spéciale au moment de sa prise de fonction. Aujourd'hui, alors que leur mission tire inexorablement à sa fin, le délégué spécial, le général de corps d'armée Pierre Rizogo Rousselot, et ses "troupes", ont-ils atteint cet objectif ?

Devenue une véritable gangrène, la corruption au Gabon semble avoir atteint son paroxysme. Du moins, c'est ce que l'on retient du dernier classement africain dans l'indice de la perception de celle-ci qui place le pays au 33e rang en 2024. Une bien maigre performance, au vu des efforts consentis par le gouvernement pour venir à bout de ce phénomène.