Lors d'une récente rencontre interne, Marlène Fabienne Essola Efoutame et ses militants de 'La République, c'est nous' ont fait allégeance à Alain-Claude Bilie-By-Nze
Ça y est ! Le suspens a pris fin. Après une longue attente, la Cour constitutionnelle a enfin statué. Des examens minutieux, il ressort que quatre (4) autres prétendants à la magistrature suprême ont été repêchés.
Porté au pinacle à 82 ans révolus, Jean Ping a, pour ainsi dire, du pain sur la planche. D'autant qu'il est porté à la tête d'une écurie politique dans un contexte particulier.
À la faveur d’un congrès extraordinaire, samedi dernier, le parti politique l’Union pour le progrès et la liberté (UPL) – jusque-là membre de la Coalition pour la nouvelle République (CNR) — s'est mué en Rassemblement pour la nouvelle République (RNR).
Le week-end écoulé, les chefs des partis politiques ayant organisé les congrès extraordinaires ont tous tenu le même discours ou presque. Notamment sur les raisons ayant motivé le choix du "général-président", non moins candidat à la présidentielle à venir.
Brice Clotaire Oligui Nguema, candidat à la présidentielle du 12 avril prochain, a enregistré de nouveaux soutiens, le week-end écoulé. Pas moins de quatre (4) formations politiques, et non des moindres, viennent de lui accorder leur confiance au terme des congrès extraordinaires.
Forte activité politique ce samedi dans le Grand Libreville, essentiellement dans la capitale gabonaise et sa commune voisine d'Akanda. Pour cause quatre (4) formations politiques tiennent des congrès extraordinaires. Ce, à deux semaines de l'ouverture de la campagne électorale pour la présidentielle du 12 avril prochain.
L'ambiance était lourde et l'émotion à son comble, hier à la résidence de feu Louis-Gaston Mayila, sise à Montagne-Sainte où se déroulaient ses obsèques. Pour rendre un ultime hommage à ce dignitaire de la République, le président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema l'a élevé, à titre posthume, à la dignité de Grand-Croix de l'étoile équatoriale
Comme annoncé par lui-même à la suite du rejet de son dossier de candidature au scrutin du 12 avril prochain, Jean Remy Yama a introduit un recours mardi auprès de la Cour constitutionnelle. Naturellement, dans sa requête, il balaie d'un revers de la main l'argumentaire du président de la Commission nationale d'organisation et de coordination des élections et du référendum (CNOCER), Hermann Immongault.