Alors qu'une partiel de l’opinion se persuade que la décision de la Cour internationale de justice rendue le 19 mai dernier lui est défavorable, au Gabon une analyse plus lucide de la Convention de 1900 s'impose pour comprendre que, au finish, la Guinée équatoriale pourrait perdre 375 km2 de son territoire. Des pans entiers autour des villes de Mongomo et d'Ebebiyin devant revenir à notre pays.

En remettant en cause la Convention de Bata signée en 1974, la Guinée équatoriale a finalement couru le risque d'être amputée d'une partie de son territoire actuel. Le régime de Malabo ne le savait probablement pas, pis il n’avait pas imaginé ce qui pourrait advenir au terme du rendu du CIJ.

L'attente de son procès devenait de plus en plus longue. Au final, il n'aura plus lieu. Hugues Landry M. vient de bénéficier d'une libération définitive accordée par le parquet général, après 10 ans passés à la prison centrale de Libreville (PCL), dans le cadre de la détention préventive, sans être jugé.

Le processus de certification certification des administrateurs a franchi un nouveau palier hier avec un exercice de simulation. Lequel doit permettre aux bénéficiaires, membres de l'Institut gabonais des administrateurs (IGA) et exerçant déjà leurs responsabilités, de mieux appréhender leurs rôles et leurs charges.

Principal organe judiciaire de l’Onu, la Cour internationale de justice a donné hier raison à la Guinée équatoriale dans le conflit territorial qui l'opposait au Gabon depuis les années 1970. La souveraineté des îles Mbanié, Cocotiers et Conga appartient désormais à Malabo.

Forum interactif dédié à la promotion de l'excellence au sein des entreprises, l'Institut gabonais des administrateurs (IGA) réunit, dès ce lundi 19 mai 2025 et ce, jusqu'au 22 de ce mois à Libreville, ses membres pour parler du parcours du certificat d'administrateur (CA).

Le ministre des Travaux publics et de la Construction, Edgard Moukoumbi, est descendu sur le terrain samedi dernier. Objectif : se faire une idée de la situation des chantiers initiés par le régime déchu, dans le cadre de la deuxième phase du programme des voiries urbaines de Libreville, Akanda et Owendo.

La corruption et l'enrichissement illicite sont deux fléaux qui n'épargnent aucun continent. Si les moyens ont été mis en œuvre par les États, ceux-ci n'ont, jusqu'ici, pas permis d'éradiquer ces phénomènes contre lesquels la lutte doit être maintenue.

Au lendemain du "Coup de libération" perpétré le 30 août 2023 par les Forces de défense et de sécurité (FDS), le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) avait assuré que l'ex-chef de l'État gabonais, Ali Bongo Ondimba, était libre de ses mouvements. Donc, il pouvait à tout moment quitter le pays s'il le désire. Après plus de 19 mois de refus, le président déchu a finalement décidé de s'en aller du Gabon, qu'il a dirigé pendant deux mandats, à la suite de la liberté provisoire dont viennent de bénéficier son fils Noureddin Bongo Valentin et son épouse Sylvia Bongo Ondimba.

Hervé Patrick Opiangah voit ses poursuites maintenues après le refus de la Chambre d'accusation de Libreville d'accorder un non-lieu, malgré des éléments juridiques insuffisants, une décision dénoncée par ses avocats et l'Udis.