Dans la foulée de la campagne des élections législatives et locales de 2025, la distinction entre l’autorité individualiste et le leadership tourné vers les autres devient un enjeu de communication politique de premier plan. Yves Fernand Manfoumbi, figure politique gabonaise, a récemment pris position sur ce sujet en opérant une distinction marquée entre le " chef " et le " leader ".
Dans une publication relayée sur les réseaux sociaux, il oppose deux modèles. D’un côté, le " chef ", qu’il décrit comme agissant pour son prestige personnel, protégeant son pouvoir et luttant pour ses seuls intérêts. De l’autre, le " leader ", qu’il se présente lui-même comme étant, qui œuvre pour l’intérêt collectif, crée des opportunités et a pour vocation d’élever les autres pour avancer avec eux.
" Je ne cherche pas à briller seul. Je construis pour que chacun puisse avancer ", affirme-t-il, résumant ainsi sa philosophie politique. Ce discours, qui s’inscrit dans la campagne pour les législatives de 2025, se veut fédérateur et tourné vers le développement commun.
En conclusion de son message, Manfoumbi Manfoumbi appelle à la construction collective d’" une Dola forte, une Dola qui gagne ", un message patriotique clairement adressé à l’électorat du département de la Dola qui l'a toujours soutenu et porté au pinacle.
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