Surnommé affectueusement " Papa Ngori " pour ses multiples actions sociales en faveur des habitants, Hugues Mbadinga Madiya, candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), a clôturé sa tournée ce vendredi 26 septembre dans le deuxième arrondissement de Koula-Moutou. Fort de son ancrage local et de son expérience, il entend devenir la voix crédible de ses concitoyens à l’Assemblée nationale.
À quelques heures du scrutin, Hugues Mbadinga Madiya a bouclé sa tournée de proximité dans le deuxième arrondissement de Koula-Moutou. Pour ce candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), l’enjeu est clair : convaincre ses concitoyens de lui accorder leur confiance pour porter leurs préoccupations au Parlement.
Celui que la population appelle " Papa Ngori " s’est imposé depuis des années comme un acteur incontournable de la vie sociale locale. Transport scolaire gratuit, accès au Wi-Fi, soutien aux élèves en classe d’examen, assistance aux familles vulnérables : autant d’initiatives qui ont forgé sa réputation et ce surnom dont il dit s’accommoder, « parce qu’il vient du peuple ».
" Je suis candidat d’abord parce que mon parti m’a désigné, mais aussi parce que je crois pouvoir être une alternative crédible pour conduire la politique dans le deuxième arrondissement, " explique-t-il. Pour lui, la mission d’un député va bien au-delà du vote des lois. Elle doit intégrer un plaidoyer constant en faveur des besoins concrets des populations : éducation, formation professionnelle, accès à l’eau, à l’électricité, ou encore promotion de l’artisanat et du sport.
Soutien affiché du président de la République, Mbadinga Madiya se présente comme un relais entre les habitants et les instances nationales. " Le député doit être un avocat de ses populations. Il doit dialoguer avec tout le monde : le secteur privé, le gouvernement et bien sûr le chef de l’État. Mon ambition est d’être un député actif, capable de faire remonter les préoccupations locales pour qu’elles trouvent une réponse concrète dans les politiques publiques, " souligne-t-il.
En présentant ses " dix engagements " pour Koula-Moutou, le candidat a insisté sur la nécessité de transformer les potentialités locales, notamment dans l’exploitation du bois et le développement industriel. " Nous sommes encore à un stade embryonnaire. Il faut poser les bases d’une véritable économie locale, génératrice d’emplois et de revenus, " insiste-t-il.
Pour ses partisans, sa proximité avec la base et son action sociale continue font déjà de lui " l’élu naturel " du deuxième arrondissement. Le 27 septembre, les urnes diront si " Papa Ngori " transformera cette popularité en mandat parlementaire.
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