Innocent Ihoba, 23 ans, et Marcel Doly Moussiali Mabika, 21 ans, tous deux Gabonais, sont placés depuis mercredi dernier à la maison d'arrêt de Lambaréné.
Depuis quelques jours, une vidéo circule sur les réseaux sociaux, notamment Facebook et TikTok, révélant une fois de plus le visage insalubre d'une cafétéria au Gabon. La séquence partagée montre un lieu en délabrement.
Aancien pensionnaire de la maison d'arrêt de Koula-Moutou, le chef-lieu de la province de l'Ogooué-Lolo, pour faits de vol et de viol sur mineur de moins de 15 ans, le quinquagénaire a été de nouveau placé mercredi dernier sous mandat de dépôt
Réunis en assemblée générale lundi dernier, les adhérents du Syndicat national des professionnels de la santé (Synaps), ont décidé, le même jour, de lever leur mouvement de grève.
Il s'agissait plutôt d'un Soudanais et non d'un Tchadien. En effet, Hassan Mahamat, le jeune homme de 24 ans qui a dé- capité le Tchadien Brahim Malik, 29 ans, a été placé, le 2 octobre 2024, sous mandat de dépôt à la prison centrale d'Oyem pour assassinat. Les informations recueillies lors de l'interrogatoire du présumé meurtrier font froid dans le dos.
Laure Carine Mayombo, Gabonaise, 23 ans, sans emploi, est décédée le 25 septembre dans des conditions pour le moins troubles. Elle aurait trouvé la mort à la suite, dit-on, d'un avortement clandestin présumé.
La Journée internationale de l'avortement sécurisé célébrée le 28 septembre dernier au Gabon et ailleurs a été l'occasion pour Aimée Patricia Ndembi Ndembi, cofondatrice du Réseau d'Afrique centrale pour la santé reproductive des femmes, en collaboration avec l'Association des sages-femmes du Gabon, de sensibiliser, informer et éduquer sur la santé sexuelle, les complications liées à la grossesse, les avortements incomplets.
Dans le cadre des réformes initiées par le ministère de l’Éducation nationale via l’Institut pédagogique national (IPN), un séminaire de formation sur l’utilisation de nouveaux manuels Super Efficace pour les classes des 4e et 5e années du primaire, qui prend fin demain, s'est déroulé au Centre de perfectionnement pédagogique Vincent de Paul Nyonda à Mouila pendant cinq jours.
Le Syndicat des autoentrepreneurs gabonais (SAEG) se sent lésée. Il a exprimé, vendredi dernier à la Chambre de commerce de Libreville, son mécontentement face à ce que ses membres qualifient d’injustice dans l’attribution des marchés publics