Le 1er août 2025, la Cour criminelle de Franceville a condamné Thomas Chukwe-Meka, un Nigérian de 49 ans, à 12 ans de prison pour l’homicide volontaire de sa concubine, Rachellina Baniamba. La victime, morte des suites de violences conjugales, avait été battue violemment en février 2021, une tragédie qui soulève une fois de plus la problématique des violences faites aux femmes dans la région.

Dimanche soir à Lambaréné, un accident de la route a coûté la vie à un jeune cycliste après que le véhicule Toyota de type Carina 2, conduit par Henri Ngoma Adjila, a fait une embardée à vive allure dans le quartier Dakar.

Les trois jeunes Gabonais, Junior N.O., Méola G.N. et Zidane M., respectivement âgés de 30, 31 et 27 ans, ont été placés en détention à Franceville, après avoir été accusés d’abus sexuels graves sur une fillette camerounaise de 11 ans à Bapili.

La Cour d'appel judiciaire de Franceville a condamné deux hommes, un agent de sécurité et un pasteur, pour viol sur mineure de moins de 18 ans, avec une peine de 10 ans de prison et une amende d’un million de francs CFA.

Le non-respect du code de la route par certains conducteurs, souvent issus de permis obtenus par des voies irrégulières, menace la sécurité sur nos routes. Entre accidents évitables et pratique de la fraude, cette situation alarmante nécessite une intervention ferme des autorités pour protéger tous les usagers et assurer la réglementation du permis de conduire.

Nazih Marwan Al-Azzi, activiste libanais ayant proféré des propos injurieux et menaces à l’encontre du président gabonais, a été interpellé par la Sûreté générale du Liban. Cette arrestation intervient dans un contexte où ses accusations et ses tentatives d’extorsion ont mis en péril les relations diplomatiques entre le Liban et le Gabon, soulignant la lutte contre la diffamation et le cyberharcèlement.

Le ministère des Transports est, depuis la semaine dernière, secoué par un scandale de trafic de permis de conduire. Des images diffusées sur la toile montrent, dans un bureau, des demandeurs versant de fortes sommes d'argent pour se faire délivrer le précieux document. Une pratique que l'on croyait pourtant disparue.

L’affaire de la disparition du petit Anderson Rinaldi Abaga Ngoua, enlevé en janvier 2020 au village Abé-Eba, demeure toujours sans solution concrète.

Un homme de 50 ans, identifié comme A. L., est décédé mardi dernier au Centre hospitalier régional Omar Bongo de Makokou, après avoir été brûlé dans sa cellule lors d’un incendie survenu au commissariat local. Convoqué dans le cadre d’une affaire de viol, l’homme aurait tenté de se donner la mort avant que l’incident ne se produise.

La cour criminelle d’Oyem a condamné, après une audience houleuse, trois Gabonais impliqués dans l’enlèvement en 2020 du jeune Anderson Rinaldi Abaga Ngoua. Reconnu coupables de kidnapping et de séquestration, ils ont été condamnés à de lourdes peines, dans une affaire qui soulève encore des questions sur la destination finale de l’enfant.

Depuis sa disparition constatée le 23 juillet dernier à Ndjolé, Éloge Awong Meka, un enseignant de 42 ans en service à l’école publique de Mbolo-Edock à Makokou, est activement recherché par sa famille et les autorités.

Après près de six années en détention provisoire, trois hommes suspectés de vol avec violence et armés d’une arme blanche ont été acquittés à l’unanimité par la Cour d’appel de Libreville. Incarcérés depuis octobre 2019, Ngayila Akouangou, Youn Nguema Nguema et Lionnel Bouassa Mbingui ont retrouvé la liberté, leur dossier ayant été clos faute de preuves concrètes.