L'international gabonais de Saint-Etienne, Denis Bouanga, 12 buts et 3 passes décisives en 35 matchs, toutes compétitions confondues, attise depuis quelques semaines les convoitises de plusieurs clubs français et espagnols. Lille olympique sporting club, 4e de L1 la saison écoulée, en a même fait sa priorité.

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Sarah Myriam Mazouz est la première sportive gabonaise a être frappée par le Covid-19.

Faire de la Sécurité pénitentiaire une place forte du sport chez les Forces de défense et de sécurité (FDS) et sur l'échiquier national : tel est le challenge qu'a promis de relever Toussaint Pama Abula.

Après l’incendie criminel du salon VIP du stade d’Oyem, par des inconnus, le gouvernement a décidé de sécuriser cette infrastructure moderne dotée de 20 500 places assises.

C'est la situation dans la Ligue de football du Woleu-Ntem, où le président fait un bilan de la première partie de la saison 2019-2020. Avant d'exprimer sa désolation sur la dernière actualité malheureuse du stade d'Oyem

La Fédération internationale des associations de footballeurs professionnels (FIFPRO) n'est pas du tout contente de l'indifférence affichée par la Fédération gabonaise de football (Fégafoot) face à la dégradation des conditions de vie des footballeurs de première et deuxième divisions du Gabon, victimes collatérales du Covid-19.

Formé au Foyer de football et d'animation de Libreville (FFAL), Loïc Mombe Assoumou, né le 27 août 2000, est un milieu défensif gabonais prometteur.

Si pour Denis Bouanga, la saison 2019-2020 avec l'AS Saint-Etienne a été celle de la confirmation en Ligue 1, après un précédent exercice riche en satisfactions au Nîmes Olympique, celle de Jim Allevinah est une révélation en Ligue 2.

C'est une décision unilatérale que pourrait prendre la Fédération gabonaise de football (Fégafoot), en réponse à la correspondance du 26 avril dernier, adressée par la Confédération africaine de football (Caf), au sujet de la planification des compétitions nationales pour cette fin de saison 2019-2020.

La soirée du 22 mai 2020 aurait dû être celle des réjouissances au palais des sports de Libreville, à l’occasion de la 29 e édition de la Grande nuit des arts martiaux. Mais c’était sans compter avec le coronavirus, venu bouleverser tous les rendez-vous sportifs dans le monde depuis trois mois.

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