Le ministre de l'Intérieur, Lambert-Noël Matha, était hier devant la Commission des Lois et des Affaires administratives de l'Assemblée nationale. Il était question de défendre le projet de loi portant organisation de l'état-civil en République gabonaise.

Le gouvernement peut-il organiser, à deux mois de la fin de la présente législature (la douzième), des élections législatives partielles sur les sièges qu'occupaient Bertrand Zibi Abeghe (Minvoul), Martin Moulengui-Mabende (Mbigou) et Séraphin Moundounga (Moabi) ?

Cette participation de l'Union pour la nouvelle République (UPNR) à ces assises sera néanmoins subordonnée à un certain nombre de conditions.

Arrivé au Gabon dans le cadre du tirage au sort de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2017), le président de la CAF, Issa Hayatou, a été reçu, hier, par le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba.

Le ministre Alexis Boutamba Mbina rencontrait, vendredi dernier, les parlementaires de la Nyanga. La situation politique au plan provincial, près de deux mois après la Présidentielle du 27 août, était au centre des échanges.

Alors qu’il est attendu pour sa déclaration de politique générale, le Premier ministre a créé la surprise en se fendant d’une feuille de route des 100 jours. 

Les récentes déclarations du président, René Ndemezo'Obiang, n'ont pas plu. " Le dialogue politique national sans tabou " n'est visiblement pas du goût de tout le monde.

Célestin Odounga, président de Gabon Avenir, s'est exprimé, récemment, sur la situation politique du Gabon au sortir de la dernière échéance présidentielle.

Le vice-Premier ministre, Bruno Ben Moubamba, par ailleurs président de l'une des tendances de l'Union du peuple gabonais (UPG), a animé une conférence de presse, mercredi dernier, dans un hôtel de la capitale.

Le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, a livré hier à la Primature, sa feuille de route des 100 jours. Entre autres grandes mesures, celles auxquelles chaque chef de département ministériel est astreint.

L'un des porte-paroles du parti au pouvoir, Léandre Anoue Kiki, juge nécessaire d'assurer une plus grande sécurité aux citoyens.

Les travaux de la deuxième session ordinaire du Conseil économique et social (CES), qui a pris fin le 30 septembre dernier, n'ont toujours pas livré leurs conclusions finales.