Dans un entretien accordé à L’Union, Pierre-Claver Maganga Moussavou commente la récente promulgation de la loi sur les partis politiques, dont il a contribué à l’élaborer. Il exprime ses réserves sur certaines dispositions transitoires, notamment l'exigence de 10 000 adhérents en un an, qu’il juge déconnectée de la réalité politique du pays. Il souligne l’importance du respect des concertations et des décisions collectives, tout en saluant les avancées de la loi en matière de transparence et de gouvernance, essentielles pour renforcer la démocratie gabonaise.

Alors que les élections couplées pointent inexorablement à l'horizon – le 1er tour étant fixé au 27 septembre prochain – la ferveur préélectorale ne se fait pas encore ressentir, comme aux précédents scrutins législatifs et locaux. Pire l'heure est au calme plat.

Arrivé au terme de son commandement à la tête des Éléments français au Gabon (EFG), le général de brigade Jean-Bruno Despouys a récemment fait ses adieux à la ministre de la Défense nationale, Brigitte Onkanowa.

Journée à forte connotation diplomatique, hier à la présidence de la République. Le chef de l'État s'est entretenu avec Aline Younes, ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Liban près la République gabonaise. Cette dernière a transmis au numéro un gabonais une lettre de félicitations de son homologue libanais, Joseph Aoun.

Certes la plupart des décisions politiques peuvent être discutables sous nos tropiques, mais la dernière émanant du ministre de l'Intérieur de la Sécurité et de la Décentralisation, Hermann immongault, tombe sous le sens. Ce dernier à qui incombe dorénavant l'organisation des élections et du référendum en République gabonaise vient de tuer dans l'oeuf toutes velléités des délégués spéciaux.

En demandant aux délégués spéciaux désireux de se présenter aux scrutins du 27 septembre et 11 octobre prochains de démissionner au préalable de leurs fonctions, le membre du gouvernement reste attaché à la ligne qu'il s'est fixée en arrivant au 119 rue Jean-Baptiste Ndende.

Chef suprême des Forces de défense et de sécurité (FDS), le président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, a présidé hier, à l'esplanade du palais du Bord de mer, la cérémonie de port de galons des officiers généraux et supérieurs promus au titre de l'année en cours.

La signature officielle, présidée par le Président de la République Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, d’une convention tripartite entre l’État gabonais, le Groupe EBOMAF et BGFI Bank marque un tournant économique majeur pour la localité de Cocobeach.

Une journée de travail digne d'un véritable marathon. Telle est l'ambiance qui a prévalu, hier, au Palais du bord de mer où le président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, a accordé une série d'audiences en début de journée.

Ouverte le 3 mars dernier, la première session ordinaire du Parlement s'est achevée hier, dernier jour ouvrable du mois de juin, conformément aux dispositions de l'article 85 de la Constitution.

Alors que la réduction des dépenses publiques semble s’imposer comme un impératif budgétaire, qu'il me soit permis, du contenu de cette modeste contribution, de rappeler que toute dépense n’est pas mauvaise par essence. En effet, bien pensée, la dépense publique est un outil stratégique de création de valeur et de transformation économique.

Je ne refuse pas de déposer mes comptes de campagne. Je refuse de les déposer auprès de la Cour des comptes car la mission constitutionnelle de cette dernière est très claire. Elle est la plus haute juridiction de l'État en matière de contrôle des finances publiques.