Invité par l'Institut de médecine tropicale de Tübingen, le reggaeman gabonais a fait le plein du musée national et d'un restaurant de cette ville universitaire du sud.

L'émotion était à son comble samedi dernier, au stade de Nzeng-Ayong, pour l'acte II du concept "Vacance bal poussière".

C'est après deux années de dur labeur au Centre de formation continue et des écoles rattachées (CFCer), que les lauréats de la 28e promotion, baptisée Estelle Ondo, du nom du ministre de l'Economie forestière, ont reçu, la semaine écoulée, leurs diplômes de fin d''études.

Des jeunes âgés de 9 ans et plus y suivent des séances de formation sur des notions en lien avec le ''savoir-vivre''.

Entre le Gabon et les médicaments illicites, la guerre est plus que jamais déclarée.

La malbouffe : un phénomène très courant en zone urbaine, favorisé par la précarité, les populations se contentant de ce qui leur tombe sous la main, sans trop se soucier de la qualité.

Très peu connues des populations, les missions de l'Institut d'hygiène publique et d’assainissement (IHPA) se confondent souvent avec celles des autres services de contrôles alimentaires, notamment la mairie, le ministère de l'Agriculture, l'Agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa).

Le championnat national a été l’occasion pour la Fédération gabonaise de scrabble de connaître et primer les champions de la saison 2016-2017.

Examen phare de l’Éducation nationale, le baccalauréat 2017 a débuté hier sur l'ensemble du territoire gabonais. Dans l'enseignement public comme dans le privé.

Au cours de leur réunion, les syndicalistes sont revenus sur les raisons de l'AG extraordinaire du 30 juin dernier ayant abouti à la suspension de leurs activités académiques.

La nouvelle responsable pays de l'Onusida, Françoise Ndayishimiye, a fait, hier, le point avec la maire de Libreville, Rose Christiane Ossouka Raponda, sur la lutte contre le VIH-Sida.

 Nous nous engageons à percevoir, dès la rentrée 2017-2018, les frais de scolarité des élèves admis en en 6e et transférés dans nos lycées et collèges. Il en sera de même pour tous les anciens élèves orientés dans nos établissements depuis 2007, à la différence toutefois qu'ils devront d'abord s'acquitter des arriérés de l'année scolaire 2016-2017 jusqu'ici impayés par l'État. »