Une vingtaine d'acteurs du domaine social, issus de plusieurs départements ministériels, prennent part depuis hier, à Libreville, aux travaux de relance des activités de la SIHG que le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, avait commandés en vue d’accélérer les réformes de la politique d'aide sociale au Gabon.
La tournée de vulgarisation de deux œuvres de vulgarisation commises par deux inspectrices pédagogiques, Marie Claire Assoumou Mombey et Brigitte Obame Emane, s'est achevée au lycée Paul-Emane-Eyegue d'Oloumi.
membres de l'Association des épouses des gendarmes du camp Toulékima (AEGCT), emmenées par leur présidente, Marie-Noéline Anguilet, se sont rendues récemment à l’arboretum Mgr Raponda-Walker et au quartier Cap-Caravane, situés dans la commune d'Akanda, au nord de Libreville.
Face à cette décision, le Sytrameg ne désarme pas. Il a introduit un recours pour l'annulation de ladite autorisation de licenciement, tout en souhaitant une enquête minutieuse, contradictoire et au fond sur l'affaire.
Portail fermé, bureaux administratifs complètement déserts. C'est ainsi que nous avons trouvé l'Institut africain d'informatique (IAI) hier, lundi 18 mars 2019, au deuxième jour de la reprise des activités académiques annoncée pour vendredi dernier.
Les hommages à Edith Lucie Bongo Ondimba se poursuivent. Après ceux rendus par la polyclinique El-Rapha, la semaine écoulée, c'est au tour de la Fondation Horizons Nouveaux de commémorer le week-end dernier, le 10e anniversaire du décès de l'ex-première dame du Gabon et fondatrice de cette structure.
Le conseil d'administration de l'Hôpital d'Instruction des Armées-Omar-Bongo-Ondimba (HIAOBO), présidé par le ministre d'Etat en charge de la Défense nationale et de la Sécurité du territoire, Rose Christiane Ossouka Raponda, s'est réuni hier, jeudi 14 mars 2019, aux fins d'apprécier le rapport d'activités de l'exercice 2018 et la vision stratégique de cet établissement sanitaire de référence.
C'est le constat fait hier après avoir sillonné plusieurs quartiers de la capitale. Les sociétés chargées de la collecte des ordures travaillent désormais à mi-temps.
Des marchandises posées à même le sol ou sur quelques étals de fortune, tout le long du mur du centre national de nutrition et de la PMI (Protection maternelle et infantile) de La Peyrie. C'est le spectacle désolant auquel doivent désormais s'habituer les usagers de ces deux structures sanitaires de Libreville.