L'entrepreneuriat fleurit au Gabon. Dans ce chemin qu'empruntent de plus en plus de compatriotes, il faut savoir choisir son couloir et s'y épanouir. Le natif du Haut-Ogooué, après une carrière de basketteur, a jeté son dévolu sur les infrastructures sportives. Fin logique d'une histoire qui ne méritait aucune autre issue?

Son travail consiste à établir des programmes nutritionnels adaptés aux besoins du patient. Il lui revient par ailleurs d'apporter son expertise pour indiquer les liens existant entre alimentation et santé.

L'homme ou la femme, professionnel de ce métier, est au cœur même de l'organisation de l'entreprise. La circulation des marchandises, depuis l'approvisionnement en matières premières par les fournisseurs jusqu'à la livraison des produits finis, en passant par la production et le conditionnement, fait partie de sa mission principale.

Depuis une salle apprêtée pour les besoins de son service, la mission de ce professionnel consiste à déclencher des actions telles que l'alimentation des cuves de stockage du ciment. Il lui revient aussi de corriger les anomalies à partir d'une commande à sa disposition, à défaut d'envoyer les techniciens concernés sur le terrain réparer ce qui doit l'être.

Dès 3 ans, ils sont face aux écrans non plus par hasard, mais avec des gestes assurés. Le jeu devient voulu, instructif aussi. C'est l'objectif de Children's House, une école du pré-primaire qui a décidé d'intégrer le tableau numérique aux programmes des apprentissages pré-scolaires. Des enfants ont démontré au reporters de l'Union, leur maîtrise de l'outil informatique.

Un milliard 200 millions investis. Une vingtaine d'enseignants formés. Plus de 102 entreprises partenaires. Tout était parti pour que la filière bois se dote de professionnels performants issus des “laboratoires” locaux. Jusqu’à ce que des bruits de boycott se sont fait entendre. À qui profite le crime?

Malgré son implication dans quelques chantiers routiers, le Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics du Gabon (LNBTPG) ne joue que les seconds rôles depuis sa créations en 1960. Ce qui l'amène à sous-traiter dans son propre pays. Même pour les marchés de l'Etat dont il devrait pourtant être le bras séculier.

De plus en plus de jeunes se plaisent dans les métiers du numérique. L'explosion de ce secteur fait que d'ici quelques années, il pourra sans doute se nationaliser. Cette attirance pour cette technologie, expliquent certains, trouve son fondement dans la facilité de s'y lancer. Nul besoin de gros moyens. Mais, ces ''petits'' peuvent-ils tenir tête aux géants du secteur?

L’ambiguïté est suscitée par l'ordonnance n°10/PR/2018 du 23 février 2018 qui crée le nouvel organe de régulation de la communication au Gabon. Une disposition de cette ordonnance indique que la HAC est une Autorité "indépendante". Une autre la place, en réalité, sous la "tutelle" des institutions politiques qui nomment les 98% de ses membres.

En charge de la réalisation des opérations de maintenance sur les instruments de production de l'usine, ce professionnel se doit d'être rigoureux et réactif.

Il a commencé rappeur. Le voilà avec la casquette d'entrepreneur. Le natif de Tchibanga habille désormais la jeunesse. Son couloir : le vêtement de la rue. Son Label : Ivunda, c'est-à-dire "l'autorité" dans une langue gabonaise. Boris Moussodji raconte son parcours.

Nombreux sont désormais les jeunes Gabonais qui se lancent dans la création du vêtement de rue. T-shirt, polo, sweet shirt, pull, jogging, etc., toutes tailles confondues, portent des griffes du terroir. Pour hommes et femmes, sans oublier les enfants. Une mode faite au Gabon par des Gabonais qui ne laisse personne indifférent.