Les différents candidats au baccalauréat session 2025 des établissements secondaires de Bitam, bénéficient actuellement d'un programme d'accompagnement intitulé “Bitam Bac Training”, qui est à sa 2e édition.
Narcisse est bachelier depuis cinq ans. Ses parents, économiquement faibles, n’ont pas pu le soutenir pour qu’il poursuive ses études supérieures à Libreville ou ailleurs. Avec résignation malgré lui, il a dû donc rester dans son village Idembe (Lebamba, chef-lieu du département de la LouetsiWano dans la Ngounié) où le directeur de l'école, confronté au manque d’enseignants, sollicitera ses services.
La marche vers l'effectivité de la décentralisation dans notre pays semble s'accélérer ces derniers temps. Et pour preuve, en plus de la tenue dernièrement de la première session de la Commission nationale de la décentralisation (CND), les Chambres du Parlement viennent d'adopter le projet de loi portant ratification de l'ordonnance relative à la programmation du transfert des compétences et des moyens de l'État aux collectivités locales.
Après les pleurs et les lendemains sans éclat qui ont fait suite à la démolition de Plaine-Orèty, voilà que d'autres nuages noirs s'amoncellent au-dessus d'une partie d'Owendo (Carrefour Sni) et des Charbonnages. Pour les habitants concernés par les projets de déguerpissement dans ces zones, c'est la même question qui ressurgit : que se passe-t-il ?
Après neuf années de privation, l’eau coule à nouveau à Ayeme-Maritime, un village du département du Komo-Mondah, dans la province de l'Estuaire. Et cela, grâce à l'intervention des éléments des Forces de défense et de sécurité (FDS) qui ont réparé, le 16 juin 2025, la pompe hydraulique.
Le lac Wambé, à environ 30 minutes de navigation de Lambaréné, chef-lieu de la province du Moyen-Ogooué, a été le théâtre, samedi 21 juin, de la mort de Yann Noé Nze, un enfant de 7 ans dont le corps a été repêché dimanche matin. Neymar Minko Nze Abene, son frère également âgé de 7 ans, demeurait introuvable, hier jusqu'à l'heure de notre bouclage.
Orienter la politique économique du Gabon vers réformes nationalistes, tel est le message du ministre d’Etat, ministre de l’Economie, des Finances, de la Dette et des Participations chargé de la Lutte contre la vie chère, Henri-Claude Oyima, qui a reçu récemment les membres de la Fédération des Entreprises du Gabon (FEG) au cours de cette séance de travail.
Sous la pression d'un compte à rebours de 72 heures enclenché depuis dimanche, les populations de ces deux zones sont depuis hier sur le qui-vive. Résignées, elles tentent, comme celles des zones précédemment déguerpies, de laisser la place aux bulldozers pour l'acte de salubrité publique avec cependant des faisceaux d'inquiétudes.