Dix-huit automates médicaux de dernière génération et d’une valeur de plus de 800 millions de nos francs, vont bientôt renforcer les hôpitaux régionaux et des centres de santé du Gabon. C'est la nature de l'accord de don signé le 3 octobre dernier entre l’ambassade du Japon et le ministère gabonais des Affaires étrangères, représentés respectivement par le diplomate nippon (en fin de séjour), Noguchi Shuji, et le ministre Michel Régis Onanga Ndiaye. Ladite convention s’inscrit dans le cadre du "Programme de développement économique et social" du Japon. Ces équipements de dernière génération permettront de détecter le paludisme en 10 secondes. Offrant ainsi aux soignants un "diagnostic rapide, précis et fiable". Y compris dans les zones rurales les plus touchées, qui en seront pourvues.
--
À LIRE : Shuji Noguchi : "Nous avons mis en oeuvre de nombreux projets"
--
Ce geste confirme, si besoin en était encore, l'exemplarité et la bonne santé de la coopération bilatérale qui existe entre Tokyo et Libreville, entendu que depuis 2020, l’empire du Soleil levant a déjà investi près de 2 milliards de FCFA dans le système de santé gabonais, et soutient parallèlement, la formation du personnel médical via son agence internationale la Jica.
En dotant notre pays de tels équipements de pointe pour lutter efficacement contre le paludisme, le Japon réaffirme son engagement à accompagner, dans ce sens, le système sanitaire gabonais. L'objectif étant de parvenir à une société gabonaise saine et en bonne santé.
random pub
Articles associés
À la suite de l’assemblée générale de rentrée syndicale tenue la veille, le syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs section université Omar Bongo (Snec-UOB) a animé une conférence de pres
Connecter et équiper 45 écoles et atteindre la barre de 9 000 élèves bénéficiaires directs : c'est l'objectif du projet de digitalisation de l’enseignement primaire au Gabon.
Former les enseignants au numérique n’est plus une option, mais une nécessité.
Plus rien ne va à la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs).
La Chambre de commerce de Libreville s’est parée de rose.
C'est en présence du président de la République, chef du gouvernement, Brice Clotaire Oligui, en sa qualité de président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), que les cours et tribunaux pr
