Le Palais des sports de Libreville a vibré pendant quatre jours au rythme de la 2e édition du Salon national de l’orientation (SNO), qui s’est achevée le 16 février dernier. Sous le thème "Vulgarisation des métiers prioritaires pour le développement du Gabon", cet événement a rassemblé élèves, étudiants, entreprises, établissements d’enseignement supérieur et centres de formation professionnelle autour d’un objectif commun : préparer les jeunes générations à relever les défis économiques et sociaux du pays.

Ce week-end, les élèves des lycées et collèges publics ont accueilli avec soulagement l'annonce du versement de leur bourse du 1er trimestre, prévue dès ce lundi matin. Une décision annoncée par le ministre d'Etat, en charge de l'Éducation nationale, Camélia Ntoutoume-Leclercq, qui intervient après des tensions croissantes dans les établissements scolaires.

Plus rien ne va avec l'Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG). Les épisodes des étudiants et élèves aux abois au Gabon et à l'étranger pour cause de non-paiement des bourses deviennent légion. Et face à leur désarroi, l'ANGB se mure dans un silence ahurissant. Ce qui jette un sérieux doute quant à sa capacité à assumer aujourd'hui ses responsabilités et ses engagements.

Le président de la Haute autorité de la communication (HAC), Germain Ngoyo Moussavou, a reçu jeudi une délégation d’experts de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) conduite par Alphonse Waguena, le Représentant de l’OIF pour l’Afrique centrale, dépêché spécialement au Gabon par la secrétaire générale de cette institution francophone, Louise Mushikiwabo. Objectif, selon les émissaires de l'OIF : identifier et évaluer les besoins de la HAC dans l’optique d’un éventuel appui multiforme.

Il appartenait à la vague des journalistes ayant émergé par leur talent et leur professionnalisme au sein des premières radios et télés libres post-90. Au lendemain de la Conférence nationale ayant libéré la parole et consacré l'ère démocratique au Gabon et un peu partout sur le continent. Jean Pascal Ndong Obiang n'est plus.

Examen au Parlement du projet de loi portant création, organisation et fonctionnement du Centre national de transfusion sanguine (CNTS), dont la promulgation est désormais attendue.

Les incidents violents survenus au Complexe technologique d'Owendo ont conduit à la suspension des cours, tandis que les élèves continuent de revendiquer des solutions à leurs préoccupations, notamment le paiement des bourses.

Du 10 au 14 février, le Détachement de liaison interarmées du Gabon et l'Académie de protection de l'environnement organisent le challenge "Equatorial Patrol 2025". Cet événement vise à renforcer l'expertise militaire dans la lutte contre l'exploitation illégale des ressources naturelles et à former des militaires aguerris pour protéger la riche biodiversité du Gabon.

Hier, le Palais des sports de Libreville a ouvert ses portes à la deuxième édition du Salon national de l'orientation (SNO), réunissant un large éventail d'établissements scolaires et d'entreprises. En présence du vice-président de la Transition, Joseph Owondault Berre, et du Premier ministre, Raymond Ndong Sima, cet événement ambitionne de fournir aux jeunes gabonais les informations essentielles pour façonner leur avenir éducatif et professionnel. Le salon se déplacera ensuite à Franceville, Port-Gentil, Mouila et Oyem du 28 février au 1er mars.

La ministre d'État chargée de l'Éducation nationale a rencontré lundi les responsables des coopératives du Grand Libreville pour aborder les préoccupations des élèves, notamment le transport scolaire et le retard des bourses.

Les délestages fréquents de la SEEG à Libreville perturbent non seulement la vie quotidienne, mais nuisent également à la santé mentale et à la productivité des employés, entraînant une spirale descendante inquiétante.

Les coupures de courant récurrentes au Gabon suscitent un mécontentement croissant au sein de la population. Alors que le gouvernement cherche des solutions d'urgence, le ministère de l'Éducation nationale reste étrangement silencieux sur les conséquences de cette crise sur les élèves, pourtant fragilisés.