Mbaba : protégé par ses remparts avec en tête Ecuele Manga, le gardien de but gabonais a réalisé un match correct.
Omfia : certes il a passé quelques moments inconfortables en première période au cours de laquelle il a été même blessé à la tête. Mais Mick s'est ressaisi à la reprise.
Ecuele Manga : l'inamovible défenseur axial et capitaine des Panthères du Gabon, malgré le poids de l'âge, s'est montré intraitable face aux Burundais.
M'bemba : 45 minutes laborieuses sur l'aire de jeu. Ce n'est que logique s'il a été remplacé par Jacques Ekomie (46e). Lequel s'est montré actif sur le côté gauche de la défense gabonaise.
Andami : positionné en piston droit, il s'est montré limité au niveau de ses centres, souvent infructueux. Remplacé par Essang-Matouti (70e), qui a apporté de la fraîcheur au plan offensif.
Ndong : le médian défensif des Panthères du Gabon a livré une partie presque sans faille. Un ''Nzebo'' (son surnom) des grands jours que le public francevillois a adoubé à juste titre.
M. Lemina : après une première mi-temps poussive, les Gabonais ont retrouvé un Mario étincelant dans le camp adverse. Ses efforts physiques et techniques ont été récompensés par une réalisation dans le temps additionnel.
Bouanga : au four et au moulin, Denis s'est montré utile au groupe. Une prestation au-dessus de la moyenne.
Obiang : en dépit de deux tentatives offensives infructueuses, il a montré des carences au plan physique dans le couloir gauche. Mouyouma l'a logiquement remplacé par Anthony Oyono (45e) qui a contribué au succès des Panthères.
Do Marcolino : certes il est jeune, mais le haut niveau a des exigences pour un attaquant : l'efficacité notamment. Crédité d'une partie pâle, d'où l'attitude du public qui s'est levé pour demander sa sortie, surtout après avoir manqué l'immanquable : un caviar servi par Bouanga. Il a cédé sa place au remuant Meyo Ngoua (70e). Ce dernier n'a eu besoin que de vingt minutes pour changer la physionomie de la rencontre.
Kanga : en 45 minutes, Guelor semblait avoir la tête ailleurs. "Kanga est un joueur d'expérience, mais il était souvent absent dans la surface de vérité adverse...", a admis Mouyouma. Au retour des vestiaires, Kanga a cédé sa place à Poko. Lequel, il faut le reconnaître, n'a plus son rayonnement d'antan même si la volonté y est encore.
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