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Faits divers & Justice

Arrestation de Nazih : un exemple pour les autres "activistes" ?

Arrestation de Nazih : un exemple pour les autres "activistes" ?

La mise aux arrêts de Nazih Marwan Al-Azzi, l'activiste d'origine libanaise, vendredi dernier, par la direction générale de la Sûreté générale de son pays, devrait inéluctablement constituer une mise en garde à l'encontre de ses coreligionnaires passés maîtres dans l'art de dénigrer le Gabon et ses institutions depuis les territoires qui leur accordent l'asile.

De fait, nombreux sont ces réseaux propagandistes établis hors des frontières gabonaises à la solde des conspirationnistes désireux de voir la Ve République connaître des jours sombres. Bien que des signaux encourageants soient visibles. Une belle illustration de cet état de fait – qui n'est ni plus ni moins qu'une trahison envers la Nation – nous a d'ailleurs été o  erte à la suite de certaines décisions prises par nos autorités en vue de garantir plus de souveraineté économique au pays.

C'est le cas "l'affaire Eramet" à la faveur de laquelle, pour peu que le Gabon projette d'interdire les exportations de minerai de manganèse d'ici au 1er janvier 2029, les pouvoirs publics sont soudainement devenus l'objet de cyberharcèlement et autres calomnies de la part des spécialistes de l'activisme en ligne expressément instruits à cet effet. L'objectif étant de démontrer à quel point le pays demeurait encore sous le joug de certains. A

ussi est-il utile de réitérer dans ces mêmes colonnes que l'injure, la calomnie et la diffamation ne devraient pas être mises en avant-plan dans l'expression de l'opposition à un régime. D'autant que tous les activistes qui vont continuer de faire montre d'inconvenance, risqueraient fort bien de connaître le même sort que Nazih Marwan Al-Azzi. Quitte à ce qu'ils soient sacrifés sur l'autel des intérêts diplomatiques.

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