Edzing dam", la dernière inspiration musicale de l'artiste tradi-moderne, est dans les bacs. Un public restreint composé de la grande famille d'artistes, des médias et d'invités triés sur le volet a eu le privilège de l'apprécier, dimanche, dans un restaurant de Libreville, en avant-première.
"Edzing dam" ou la célébration de l'amour. C'est ainsi qu'est intitulée la dernière galette musicale de Diane Amédée Dhemez. Une compilation de 12 titres, plus un instrumental, pour magnifier les vibrations de « son cœur pris en otage» par l'élu de son cœur justement. « L'amour dont je parle dans mon album est plus qu'un amour fraternel, plus qu'un amour de convenance. C'est l'amour … qui porte à célébrer la personne que vous aimez. L'amour qui vous rend aveugle», a vanté l'artiste. Qui avoue s'être surpassée pour donner à ses fans une '' bombe'' à consommer sans modération.
Le 4e album de Diane Amédée, Dhemez devenue en hommage à un homme qui a embrigadé son cœur, se veut donc une coloration musicale, une balade dans des rythmes aussi divers que variés. Le mekom, l'elone, le mboula, la salsa, le soukouss, le kôhongo et même le hip-hop se disputent de bonnes places dans l'album pour que jeunes, vieux et autres publics trouvent chacun leur compte. Et spécialement pour le hip- hop, « c'est pour entrer ainsi dans l'inconscient psychologique des jeunes», justifie la chanteuse.
L.R.A.
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