Le Réseau africain des jeunes et adolescents en population et développement (Afriyan) section Gabon, a récemment procédé au lancement officiel de ses activités à Libreville, dans la salle polyvalente de l'Église Alliance chrétienne et missionnaire d'Avéa.
Le tour des établissements scolaires d'enseignement secondaire de Libreville, commencé il y a près d'un mois par le ministre de l’Éducation nationale, Patrick Daouda Mouguiama, s'est poursuivi hier, au lycée public Paul-Emane-Eyeghe d'Oloumi, et au sein de deux structures d'enseignement privé catholique : Immaculée Conception et Notre-Dame de Quaben.
Alors que l'année scolaire avait très bien débuté, et que les cours se déroulent dans la sérénité, comment comprendre la brusque poussée de fièvre des élèves au sein et en dehors les établissements scolaires la semaine écoulée, au motif d'un projet de refonte de cet examen sanctionnant le fin du cycle secondaire ?
C'est sous des airs de ''Me maneya'a ening'' (J'ai fini avec la vie), un titre quasi prémonitoire de son riche répertoire musical, que Delphine Assonzonck Oyeghe, plus connue sous le pseudonyme de Maman Dédé, a été accompagnée à sa dernière demeure par une foule digne de sa notoriété, ce dimanche 12 janvier 2020 au quartier N'koltang, dans le 2e arrondissement de la commune de N'toum.
Alors que la nouvelle année académique semblait démarrer sans heurts, voici une nouvelle grogne qui vient secouer le secteur éducation. Hier, des élèves sont sortis des salles de classe, et on aurait dit qu'ils se sont passé le mot. Ils protestaient contre les réformes du baccalauréat annoncées par les autorités.
Ce tremplin de la mode gabonaise a tenu toutes ses promesses, lors de la dernière édition qui vient d'avoir lieu au Palm d'or. Devant un public séduit.
Au total, 336 agents publics, 112 organisations syndicales réfléchissent à cela depuis hier à l'hôtel Nomad, aux côtés de dirigeants de l'administration centrale, dans le cadre d'un forum ouvert par le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale.
Au terme de l'étape finale à Franceville, leurs idées innovantes en développement d'applications mobiles ou web viennent d'être récompensées dans le cadre du projet e-Gabon, en partenariat avec la Banque mondiale.
Ayant à cœur les métiers de la terre depuis son enfance, Jasmine Sylvia Andeme Abdoul, native de Bitam, a vu son projet se réaliser grâce au Concours national du plan d’affaires (CNPA) financé par la Banque mondiale en 2018.
Cette phase d'identification, menée entre 2017-2018, avec l'appui de l'OMS, révèle l'existence de 719 médecins traditionnels sur le territoire national. À quoi doit-on s'attendre par la suite ?
