C’est l’une des problématiques abordées, hier, par la commission 4 relative à "la consolidation de la paix et de la cohésion nationale". Au cours des discussions, les deux camps, majorité et opposition, ont livré leurs différentes approches sur le sujet.
Gabon politique
Actualité politique au Gabon
Un projet de décret y relatif a été examiné et adopté au cours de la réunion qui s'est tenue, hier au palais de la présidence de la République, sous la direction du chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, en sa qualité de président du Comité stratégique du Conseil national de la Mer.
Edouard Engouang Allogho, président de l’Union pour le progrès et la liberté (UPL), parti qui se réclame de l’opposition et membre de la Coalition pour la nouvelle République menée par Jean Ping, a procédé, samedi dernier, à l’installation des membres du bureau communal de Libreville.
Celle relative à "La modernisation de la vie publique" a connu un retard à l'allumage. Toutefois, les choses devraient rentrer dans l'ordre dès aujourd'hui.
La rencontre entre le numéro un gabonais et son homologue de la République Démocratique du Congo (RDC) a eu lieu hier, à Franceville, dans la province du Haut-Ogooué.
Aucun camp ne peut faire prévaloir ses idées sur un autre. En cas de désaccord, la majorité et l'opposition conviennent de solliciter la facilitation.
Si le préalable de la composition des quatre commissions devant mener les débats du Dialogue politique a été d’entrée de jeu posé par les participants, il aura finalement fallu attendre plusieurs jours, presque une semaine, pour que les divers camps, en leur sein, se mettent d’accord.
Cette question pourtant non inscrite à l’ordre du jour a fait l’objet de plusieurs commentaires, dernièrement, chez les conseillers municipaux.
L'actuelle ministre de l’Économie forestière estime que la procédure qui a conduit à son exclusion a été menée de manière cavalière au regard des textes qui régissent le fonctionnement de cette formation politique de l'opposition radicale.
La journée d’hier était censée marquer l’entrée en scène des politiques dans ces assises. Mais rien n'y a fait. Pas d’accès à l’information, longue attente, horaires non respectés.