Jean-Fidèle Otandault l'a faite avec ses délégués de zone qui ont géré sa campagne sur le terrain. Question de voir, à la lumière des chiffres communiqués par le Centre gabonais des élections (CGE), ce qui a marché, ce qui ne l'a pas été en vue d'apporter des améliorations.
Gabon politique
Actualité politique au Gabon
Le président du Bloc démocratique populaire (BDP), Paskhal Nkoulou, a animé une conférence de presse le week-end écoulé au quartier Sibang-Clando-PK9, dans le sixième arrondissement de Libreville.
Le chef de la diplomatie gabonaise a représenté, dimanche dernier, le président de la République, Ali Bongo Ondimba, empêché, aux festivités du Centenaire de l'armistice de 1918, à Paris, en France.
Sans langue de bois, le leader du Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) a abordé les sujets liés aux récentes élections législatives, locales et à l'état de santé du chef de l’État.
Comme un démenti aux informations circulant sur les réseaux sociaux et publiées par certains journaux, le porte-parole de la présidence de la République, Ike Ngouoni, a indiqué que le numéro un gabonais " est dans une phase de recouvrement de la plénitude de ses facultés physiques".
Huit nouveaux magistrats de la Cour des Comptes dont trois présidents de Chambre (Pascal Biveghe Bi Mvé, Alex Euv Moutsiangou et Murielle Minkwe Mezui épouse Mintsa Mi Owono), un conseiller maître (Annie Awelogosso), un conseiller référendaire (Graziela Smeralda épouse Smück), un auditeur supérieur (Justin Renaud Ndong Osselé qui réintègre la juridiction après un détachement) et deux procureurs généraux adjoints (Armand Yebe et Marthe Mboundji Nzikou épouse Doufilou Laufyllo) ont pris officiellement leurs fonctions, hier.
LE président de l'association '' Agir pour la paix'', Ibrahim Membourou, qu'accompagnait Maurice Okalas en charge de la mobilisation, est monté au créneau, mercredi
De hauts magistrats à l'expérience éprouvée qui arrivent à la juridiction au moment où celle-ci vient de voir ses missions étendues au contentieux électoral.
Dans l'optique d'élaborer des politiques sécuritaires plus accrues au sein de la sous-région, un groupe d'experts du Bureau du Conseiller spécial pour l'Afrique (OSAA) en partenariat avec la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) et le Bureau régional des Nations unies pour l'Afrique centrale (UNOCA) organisent des assises durant trois jours (du 7 au 9 novembre en cours).
Ces derniers ont conditionné la reprise des travaux par la régularisation de "leur situation" par le gouvernement. Situation caractérisée, selon certains élus, par des arriérés de frais de session. On parle de quatre mois.