En quatre recueils, l'œuvre du photojournaliste gabonais Desirey Minkoh présente les attraits physiques des cites abritant, jusqu'au 5 février prochain, les phases de la compétition sportive continentale.
LIBREVILLE, Franceville, Port-Gentil et Oyem. Quatre villes, quatre histoires différentes, mais également quatre réalités particulières à l'heure actuelle, puisque lesdites cités abritent, jusqu'au 5 février prochain, des séquences de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) 2017.
Le photojournaliste gabonais Désirey Minkoh en a fait le thème central d'une de ses nouvelles œuvres en l'intitulant " Les 4 villes de la Can Total Gabon 2017". En quatre recueils illustrés et documentés, ce travail d'expert présente les attraits physiques et touristiques de ces chefs-lieux de provinces : l'Estuaire (Libreville), le Haut-Ogooué (Franceville), l'Ogooué-Maritime (Port-Gentil) et le Woleu-Ntem (Oyem).
« Le Gabon est un grand pays. C'est la terre de nos ancêtres. C'est notre héritage que nous devons préserver et enrichir. C'est notre culture, diverse mais unifiée autour de notre identité nationale. Notre sous-sol regorge d'énormes richesses en ressources naturelles. Nos paysages sont d'une beauté inégale. Mais il va sans dire que la plus grande richesse du Gabon, c'est le peuple gabonais », peut-on lire sur la préface signée du président de la République, Ali Bongo Ondimba, dans chacun de ces quatre recueils.
Frédéric Serge LONG
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